Critiques et salutations
A propos de "ô ville de cent lieux, ville noire":
« …Ton Livre a le mouvement ondulant de ta ville en pente. Il évolue, gagne en espace et en grandeur avec elle. Et j’aime qu’il dise bien son sommeil et ses aubes pâles, ses oiseaux, ses terrasses, son odeur salée. Tu charries tant d’images, tant de lieux, dans ta voix, que ta ville « noire » gagne peu à peu, dans l’esprit de ton lecteur, une dimension métaphorique et … mystérieuse ! De son cœur à peine aux zones où s’ébrouent des cités « si neuves d’ancienneté », ton attention discrète, mais terriblement efficace, fait que « peu à peu le fil se tend ». Jusqu’à rendre un son souvent grave, mais toujours harmonieux. Ta poésie, ainsi, n’en doute pas, est ce vrai cadeau, dont je tenais à te remercier, du fond du cœur »
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Extrait d’une lettre de Pierre Alain Tâche, Lausanne, 21 Avril 2009
Pierre Alain Tâche, in Le Courrier,
le 20 fevrier 2012
Mon cher Abderrahmane,
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Pardonne-moi d’avoir tardé à t’écrire. J’ai été pendant plusieurs semaines au Maroc, et ce n’est qu’en rentrant que j’ai pu lire ton livre. Merci de me l’avoir envoyé. Ta « mer vineuse » dite par l’aveugle est une belle exploration de tous les liens que nous entretenons avec nous-mêmes, les proches et les lointains de nos semblables, mais aussi avec la mémoire des éléments qui nous relient à l’univers. La langue pour ce faire te singularise car tu l’as chevillée au corps.
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Bien à toi. Amitié vive.
Abdellatif Laâbi
Dimanche 20 mai 2012
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Avec Abdellatif Laabi et Zeynab Laouedj,
à l'hôtel Hilton d'Alger,
le 7 novembre 2007
Pour son recueil poétique : PASSAGE A L'INFINI,
la dédicace amicale que m'a adressé le poète, romancier et essayiste NIMROD,
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